Dans un article précédent, nous avons comparé l’utilisation du GS8000 avec une méthode traditionnelle de relevé. Sans surprise, les avantages en termes de simplification, de gain de temps et de ressources affectées sont apparus clairement, car le GS8000 centralise 3 tâches en 1 passage :
Voyons maintenant en quoi le GS8000 permet d’effectuer la transition numérique de la cartographie souterraine.
Les secteurs du Bâtiment et des Travaux Publics sont à l’aube de leur transformation digitale :
Bien que cela n’enlève rien à la qualité du travail effectué, force est de constater que la multiplication des outils, des formats de fichiers d’export et des notes (qu’il faudra numériser pour en garder une trace informatique) est un frein à la productivité des équipes, mais aussi une source d’erreur.
Le GS8000 : un outil 100% numérique
La manière de travailler avec le GS8000 est aux antipodes de la méthode traditionnelle, ce qui simplifie considérablement de nombreuses tâches :
Le support physique : un frein à la productivité L’utilisation de cartes mémoires ou de clés USB empêche un post-traitement rapide, car il est fréquent que les techniciens sur le terrain ne repassent à leur bureau que le lendemain. Par ailleurs, les supports physiques se perdent ou peuvent être endommagés. C’est vrai pour un géoradar, mais ça l’est aussi pour toutes les machines ! Le stockage des données sur un cloud est sûr et permet un traitement en temps réel, il n’y a que des avantages ! |
Le GS8000 a un fonctionnement simple et qui vous permet de travailler de manière rapide et efficace.
Il suffit simplement de mettre en marche le matériel et de partir en « chemin libre » pour lancer une cartographie en temps réel. Il n’est donc pas nécessaire de créer une grille de relevé avant la prise de mesure, ce qui est déjà un gain de temps.
S’affiche alors une tomographie en couleurs qui indique la position des éléments détectés et qui permet, en déplaçant l’appareil, d’obtenir un tracé des réseaux.
L’analyse du type d’élément dépend alors de l’expertise de l’opérateur (en fonction du diamètre, de la forme, et de la profondeur).
Une fois que celui-ci a identifié tel ou tel réseau (télécom, électricité, eau, gaz, etc.), il obtient une carte précise et peut même la superposer à d’autres résultats, comme des relevés électromagnétiques, par exemple.
Vérifier la précision des relevés électromagnétiques avec le GS8000 Les mauvaises estimations de distance sont malheureusement fréquentes lors des relevés électromagnétiques ponctuels. Repasser avec le GS8000 sur les zones mesurées est un moyen de vérifier l’exactitude des mesures. C’est un atout important, car une erreur sur la position d’une conduite (de gaz par exemple) peut avoir de graves conséquences lors de la réalisation de tranchées. |
Vous possédez déjà un Géoradar, il fonctionne très bien depuis 10 ans et vous l’utilisez même au quotidien. Alors, pourquoi en changer ?
La question n’est pas de savoir si le matériel fonctionne, mais plutôt de se demander s’il est capable de répondre à vos besoins actuels et futurs.
Si vous cherchez à vous démarquer de la concurrence et à intégrer des projets BIM, sachez que vous aurez besoin d’outils et de compétences qui permettent de travailler à l’ère numérique :
En effet le GS8000 est totalement BIM compatible :
Les géomètres-experts reçoivent un nombre croissant de demandes pour la digitalisation de réseaux. « Lors du 46e congrès national des géomètres experts qui a eu lieu au Havre en septembre 2022, j’ai discuté avec une vingtaine de géomètres experts. Je leur ai demandé s’ils recevaient des demandes en digitalisation des réseaux. Si les 2/3 m’ont répondu que oui, la moitié d’entre eux refuse ce type de prestation, faute de disposer du matériel et des compétences et l’autre moitié m’a indiqué sous-traiter ces prestations. Il y a donc une forte attente vis-à-vis de ces données. Le GS8000 permet aux géomètres experts de les collecter eux-mêmes et de répondre à ces nouvelles demandes. » Karsten Robbins (Screening Eagle), VP Business Development & Strategic Partnerships |